A vous tous, Amis et proches, Pour une fois, un message quelque peu… personnel. 2018 fut une année de fin de cycle et 2019 est une année de renouveau salutaire. Nous quittons Maurice ; notre séjour dans ce beau pays avait un sens mais il n’est pas une finalité. Après douze ans, tels d
Je fais suite à la première partie en interprétant, de mon point de vue agnostique, un passage des Evangiles que je trouve fort beau : le récit de la tempête apaisée. Il y a quelques nuances entre les textes des évangélistes Marc, Matthieu et Luc ; aussi référence est-elle faite aux t
Il flotte dans l’air de notre vieille Europe un parfum de peur, d’inquiétude larvée, d’interrogations sans réponse, de perte de repères et de confiance en l’avenir. La situation internationale n’étant guère florissante ni encline à susciter l’optimisme, c’est compréhensible. Cependant
Malgré le caractère positif que l’on veut lui prêter, l’espoir ne me semble pas si opportun que cela, aucunement salvateur, et guère compatible avec l’existence volontairement positive que l’on peut décider de vivre. Je m’explique.
La question de l’espoir est abordée différemment p
La question de l’existence de Dieu se rapporte à celle des licornes ; les licornes existent-elles ? Non. Alors comment savons-nous ce qu’est une licorne ? Le fait de savoir ce que sont les licornes montre qu’elles existent ; au moins dans notre imagination. La question de l’existence
Je suis agnostique, ma foi l’exige. Philippe Mailhebiau Mettre de l’argent de côté pour en avoir devant soi dans le but d’assurer ses arrières est quelque peu paradoxal ! Philippe Mailhebiau La barbe « prophétiale » n’est pas un symbole de sagesse, sinon, que penser des boucs ? Philip
La raison, à mon sens, est une vertu. Je pense que nous ne pouvons la posséder mais nous pouvons être guidés par elle. Nous l’appelons par notre capacité à raisonner mais nous nous en éloignons par l’affirmation. Avoir raison ne signifie pas ne pas avoir tort. Avoir raison, ne
Et si nous laissions Dieu être ce qu’il est, une transposition, au mieux philosophique, au pire psychotique, de nos valeurs et exigences, de nos fulgurances mystiques comme de nos archaïsmes mentaux, si nous cessions de parler à sa place (il faut reconnaître qu’on ne l’entend pas beau
Le savoir intellectuel est une chose, la connaissance en est une autre. Il y a tant de choses que nous connaissons sans pour autant les avoir apprises, et nous possédons un savoir souvent inexploité. Le mieux est de joindre les deux.
Il est bon de voir et accepter nos faiblesses, non avec résignation mais avec recul ; c’est une forme de sagesse. La légèreté de l’objectivité apporte une certaine sérénité car elle conduit à s’observer et à voir ce qui est bon et ce qui mérite d’être changé, c'est un sain équilibre e